Nutrition : La MFGE impliquée dans les politiques de Santé publique locales

Freepik

La nutrition fait partie des priorités du Mouvement mutualiste, par la promotion d’un meilleur équilibre alimentaire et l’incitation de toutes et tous à la pratique d’une activité physique et sportive, dans la sphère privée et professionnelle.

La MFGE s’implique concrètement auprès des habitants du Grand Est, y compris des plus éloignés de la prévention, en mettant en place des temps d’échanges, d’information et de pratiques dans les lieux de travail et de vie (milieu professionnel, centres socio-culturels, mairies …).

La Mutualité Française Grand Est répond aux besoins identifiés par les pouvoirs publics locaux départementaux et régionaux, notamment les Conférences des financeurs de la prévention de la perte d’autonomie, qui placent la nutrition comme un des déterminants majeurs de la santé des personnes âgées.

Dans ce cadre, des actions mêlant l’activité physique et l’alimentation des seniors sont proposées, telles que « Ma santé au menu », ainsi que des actions de découvertes de diverses activités physiques avec l’action « Pas d’âge pour le sport ».

En complément, la Mutualité Française innove et s’adapte aux évolutions de la société en proposant des actions ciblant spécifiquement les personnes sédentaires, notamment en développant sur l’ensemble des départements des « Balades santé ».

La Mutualité Française Grand Est concourt parallèlement à la réduction des chutes chez les seniors, qui est un enjeu de santé publique prépondérant.

Elle s’appuie en cela sur le plan national triennal antichute des personnes âgées, lancé par le ministère en charge des Solidarités a lancé, en février 2022.

Elle a ainsi conçu et déployé l’action « Bien Vieillir chez soi, une question d’équilibre ? ».

Les Caisses de Retraite et de Santé au travail – CARSAT – dans leur offre socle de services, proposent des actions axées sur l’alimentation et l’activité physique, à laquelle la MFGE répond par notamment l’action « Savoir décrypter les étiquettes alimentaires ».

Enfin, à l’échelle des communes et des communautés de communes, des Contrats Locaux de Santé (CLS) définissent avec les acteurs des priorités en matière de Santé publique pour le territoire. L’action « Cœur de femmes » a ainsi été soutenue dans ce cadre.